« Play Hard, tome 5 : Hard to love » de K. Bromberg

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Finn Anderson, agent de sportifs hors du commun est un homme irrésistiblement séduisant. Pour rendre service à son mentor, il accueille chez lui, une cliente pour la mettre à l’abri d’une campagne médiatique hostile, sans savoir qu’il s’agit de la personne qui avait quitté sa chambre d’hôtel à quatre heures du matin…

Stevie Lancaster, joueuse de tennis américaine en tête du classement, est à deux doigts de gâcher sa carrière.

Finn est la seule personne susceptible de l’aider. va-t-elle pouvoir se battre pour un homme qui certifie qu’il est impossible de l’aimer ?

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Quand j’ai appris la sortie de Hard to love, le cinquième tome de la saga Play hard, j’étais plus que ravie parce que j’ai adoré cette série l’année dernière! J’étais donc très impatiente de rencontrer Finn, le vil concurrent de l’entreprise Kincade et accessoirement l’ex d’une des quatre sœurs. J’espérais ainsi en apprendre plus sur lui et surtout comprendre les origines du conflit qui oppose les deux entreprises d’agents sportifs.

Sur ce dernier point malheureusement je ressors déçue. Si on apprend pourquoi Finn a rompu avec Chase Kincade ainsi que les raisons qui le poussent à être volage et peu investi dans ses relations avec les femmes, rien n’est creusé du côté de son opposition avec la famille Kincade. Celle-ci n’est d’ailleurs que peu mentionnée et c’est tout juste si l’une des sœurs fait une brève apparition dans le roman. Mes attentes sur ce fil rouge des quatre premiers tomes de la saga ne sont donc clairement pas comblées. Je trouve ça vraiment dommage de ne pas l’avoir plus développé pour apporter quelques réponses, même si j’en ai conscience c’est très très secondaire. En fait, maintenant que j’y pense, je me rends compte que ce fil rouge très présent dans les deux premiers tomes de la saga a été progressivement abandonné dans les deux suivants. Mais bon quoi, ça aurait été bien qu’il y ait plus de lien avec les précédents opus dans celui-ci et pourquoi pas que chaque sœur fasse son apparition, histoire de clore la saga d’une jolie manière.

Ceci dit, passée cette petite déception et si je considère cette romance comme un one-shot, j’admets qu’elle était excellente et que je me suis régalée avec elle. Je l’ai même dévoré en à peine deux jours (le week-end sans enfants m’a grandement aidé aussi je l’avoue). L’alchimie entre Finn et Stevie est forte dès le départ. La jeune femme nous apparaît comme une tête à claque au début. Cependant, quand on voit ce qu’elle traverse, il est difficile de lui en vouloir car beaucoup aurait pété un plomb dans ce contexte-là. Sauf que quand on est une athlète mondialement connue, surveillée et suivie, on n’a pas droit à l’erreur quelle que soit les difficultés qu’on rencontre. Les médias et le public peuvent s’avérer impitoyable. Cette partie de l’intrigue du roman m’a beaucoup plu et j’ai adoré la manière dont Stevie se relève de ces épreuves. Quant à Finn, j’ai apprécié découvrir au travers de quelques flash-backs, les raisons de son manque de confiance en la gent féminine. Rien de bien novateur de ce côté-là mais j’ai apprécié le voir changer au contact de la belle et jeune Stevie. Quant au final de cette romance, il est émouvant et fort en importance pour Stevie et Finn, bien que je l’ai trouvé un peu abrupt. Quelle frustration de ne pas connaître le dernier résultat sportif de Stevie!

6-flammes-j-ai-adore

Mon avis sur les autres tomes de la saga :

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Auteur(s) : K. Bromberg
Traducteur : Sylvie Del Cotto
Éditions : Hugo New Romance
Nombre de pages : 350
Catégorie(s) : Romance

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